vendredi, 06 décembre 2013 | Dessin-transfert, venu de 1987
Dessin-transfert, sans titre, 29,7x21 cm, 1987. (Cette image est un scan du carton d'invitation à ma première exposition personnelle à la Galerie associative de Claude Brabant l'Usine, bd de la Villette à Paris 19e ardt ; je n'ai pas retrouvé pour l'instant l'original)
Je saute par-dessus l'année 1986 pour laquelle j'ai très peu réuni de photos d’œuvres. Non que j'ai été particulièrement stérile en 86, mais je n'ai pas totalement inventorié ce que j'ai dessiné ou peint, il y a des trous à certaines de ces époques anciennes. L'image ci-dessus est un collage de lettres de transfert Letraset des décalcomanies que j'avais découvertes en bricolant les maquettes de ma revuette (fanzine) La Chambre Rouge (cinq numéros parus entre 1982 et 1985 dont l'histoire sera bientôt relatée dans un prochain numéro spécial de la revue Création Franche à Bègles), plus quatre plaquettes plutôt littéraires tirées à part, de Régis Gayraud, Joël Gayraud, Roland Chelle et Jean-Pierre Le Goff) mélangées avec du graphisme au stylo.
00:12 Publié dans Collages, Dessins, Documents, Noir et blanc | Tags : collage de lettres, lettres de transfert, letraset, la chambre rouge, galerie l'usine, claude brabant | Lien permanent | Commentaires (1)
Les commentaires sont fermés.
Commentaires
L'original... Ne cherchez pas. Il est chez moi, ne retournez pas tout chez vous pour le retrouver. Je vous rappelle que j'avais fait aussi la composition du carton d'invitation, avec ma machine à écrire électronique IBM à sphère. Le titre "dessin-transfert" a été composé sur cette machine aussi.
Et puis j'avais aussi composé dessus, dans les mêmes caractères, votre libelle anti-Gladiator, vous souvenez-vous? Et l'affiche de l'exposition "la Belle à délivrer". Et puis ma traduction du "Ravissement" d'Iliazd. et encore les statuts du Comité "Irradiés de tous pays, unissons-nous", et tant d'autres choses encore. Cette brave machine à écrire supplantée par un ordinateur Amstrad en 1990, elle est partie ensuite en URSS, vendue une bouchée de pain trois mois avant que ce pays disparaisse. Il aurait fallu la mettre au musée.
Écrit par : Régis Gayraud | mercredi, 08 janvier 2014